« La musique est la langue des émotions » ~ Airi Sena

**Solitaire sans sentiments**

Airi ne connait rien à la magie. Elle ne connait même pas son existence.

Ton personnage

Nom : Sena.
Prénom : Airi.
Surnom : Essaye de lui en trouver un, si cela vous amuse.
Âge : 16 ans.
Sexe : ♀
Classe : 1-A

Description

Caractère:

« Oh non, pas toi. Dégage de là, tu empoissonnes mon espace de vie. »

Retranscrire le caractère de cette demoiselle est une chose plutôt ardue, tant-elle est compliquée à cerner. Un jour, elle pourrait aller tout à fait bien, pour que le lendemain, ce soit l’une de ses pires journées. Les choses se passent différemment dans sa tête que dans celle des autres. Elle assimile et déduis plus facilement les éléments arrivant que la normale. Pour une fois qu’elle peut se vanter de quelque chose en sa possession. Quoique, la demoiselle ne se vantera jamais. A vrai dire, à qui pourrait-elle se vanter ? Personne n’arrive à l’apprécier. Un autre état d’esprit complexe d’Airi.

Sa froideur et son arrogance. La demoiselle fait souvent preuve de ses états. Elle n’aime pas le contact humain, ou tant bien même d’une autre chose. Les humains la répugnent, elle ne trouve en eux qu’une atrocité. De même, son entourage n’a pas été très présent et très sympathique avec la demoiselle. Peut-être une raison pour sa haine contre cette race. Airi ne sait pas vraiment parler en face d’une autre personne ne manière sympathique. La demoiselle ne sait plus comment faire et se referme sur elle-même. En se protégeant ne n’importe quelles paroles/attaques qui viennent vers elle. Airi n’est pas du genre à foncer tête baissée mais à réfléchir. Même si sous son apparence de brute, on ne dirait pas ça.

Airi ne montrera aucune émotion. Ce n’est pas qu’elle n’a pas envie. La demoiselle aimerait sourire, jouer, s’amuser. Mais elle n’y arrive. C’est devenu quelque chose de bien trop compliquer pour elle, quelque chose qu’elle n’arrivera jamais à résoudre. Quelque chose d’impossible. Airi a abandonné tous sentiments depuis bien longtemps, elle n’a pas envie de les voir revenir à la charge avant longtemps. Voir même, la jeune fille ne veut plus les voir, jamais. Ils ne reviendront jamais dans sa misérable vie. La jeune fille ne sait plus sourire, ce qui revient à être bien dommage. Elle qui avait un visage si magnifique un sourire aux lèvres.. Mais le temps passe, et rien ne se ressemble et ne s’arrange. Airi n’est plus une petite fille souriante, mais presque une femme mûre, sans sympathie.

Airi serait violente et agressive ? Pas vraiment, sauf en dans le cas où une personne ne face lui tape vraiment sur le système. Ce qui revient à être plutôt rare. La demoiselle s’est parfaitement se contrôler, dans n’importe quelles situations. Ce qui est plutôt pratique en soi. Bien qu’Airi trouve ce côté amusant. Elle n’est pas une adepte de la violence et de l’agressivité. Bien qu’avant ce fut le cas, Airi n’a plus vraiment de plaisir à martyriser une personne en face d’elle. Ce n’est plus quelque chose que la demoiselle apprécie. Et heureusement, d’ailleurs, cela serait un peu compliqué à l’intérieur de Mahora. La demoiselle est solitaire, elle n’a besoin de l’aide de personne. Plus rien ne l’amuse, tout commence à l’énerver.

Vous comprenez mieux maintenant ? Airi n’est pas facile à vivre.

Physique :
« C’est quoi cette chose ? - J’sais pas, mais t’approche pas, ça mord. »

Le physique de cette demoiselle est quelque chose des plus banales. Rien n’est bien extraordinaire ou étrange dans son physique. Si ce n’est que cette fille est dotée d’une grande taille, rien de bien méchant. Son corps n’est pas disproportionné, tout est à la même taille. La longueur de ses bras et jambes est tout à fait normal. La demoiselle n’est pas bien grosse, voir même plutôt maigre. Ce n’est pas contre elle, Airi mange correctement. Voir même un peu trop, mais son corps en a décidé autrement. Il ne veut pas lui faire prendre quelques kilos en plus qui ne lui feront pas vraiment de mal. N’étant pas très enveloppé, la demoiselle a une poitrine plutôt discrète. Bien que ses formes sont plutôt correctes. Des hanches et sa taille s’étant affinée avec le temps. Airi est plutôt une belle demoiselle.

Ses cheveux d’un noir profond, toujours attachés en deux couettes, commencent sa chevelure. Qui lui donnent tant de mal le matin. Bien qu’elle se débrouille pour que ceci ressemble à quelque chose. Ce n’est pas chose facile tous les jours. Il faut croire qu’ils sont plutôt longs, si la demoiselle les laisse détacher. Ce qui n’arrivera jamais, ils devraient lui arriver vers le bas du dos. Mais Airi préfère les garder attacher, elle trouve cela bien plus pratique en plein milieu d’un combat que de se retrouver les cheveux devant les yeux. Cela pourrait la bloquer en plein milieu, et dieu sait qu’elle déteste ça. Pour finir, deux petites prunelles bleues, c’est l’une des choses les plus normales qu’elle est. La demoiselle est fière de ses yeux, un bleu. Un bleu clair, qu’on pourrait le comparer à l’océan. Bien que c’est banal, Airi se sent plutôt normal face à ça. C’est peut-être l’une des seules choses dont elle peut se vanter sans créer de désaccord.

Il ne manque plus grand-chose pour terminer le physique de cette demoiselle. La seule chose qui pourrait déplaire au reste de la population, ce serait ses cicatrices le long de son corps. Qui arrivent à en repousser plus d’un. La demoiselle ne les montre pas la plupart du temps, mais il se peut qu’ils soient apparaissant. Ce qui peut provoquer l’hystérie des passants. C’était comme si c’était impossible de voir une demoiselle dotée de cicatrice si présente et si voyante. Une en dessous de la poitrine, l’autre au dessus des hanches. Celle-ci lui font encore, mais c’est une toute autre histoire. Les choses ne sont pas passées comme prévue pour la demoiselle, c’est plutôt les erreurs de son passé qui se retrouvent sous forme de cicatrices marquantes. Airi s’en accommode.

Histoire :

« On va bien s’amuser.. »

S’amuser ? C’était ça le mot ? S’amuser à torturer une personne, parce qu’elle vous tape tout simplement sur le système. Parce que vous lui faites remarquer que vous n’appréciez pas son point de vue et son comportement ? Il faut croire que les personnes de cette terre n’apprécient tout simplement pas Airi. Elle n’avait rien fait de particulier ce jour-là. Elle est orpheline, ses parents l’avaient abandonné dans une sorte d’enclos. Plusieurs enfants y étaient déjà, proche de la majorité ou de la naissance, les personnes qui s’occupaient de ça s’en contre fichent. Airi ne connaissait pas ses parents, mais ils sembleraient qui ne l’aimait pas non plus. La demoiselle fut placée en famille d’accueil. Il croyait que la demoiselle allait se plier aux règles plus nombreuses les unes que les autres.

Même à cette époque là, Airi ne souriait pas. Rien ne lui fessait sourire, strictement rien. Elle était plutôt violente, même, à cette époque. Airi ne savait pas se contrôler, donc elle se défoulait sur ce qu’y l’entourait. Mais il faut croire qu’un jour, cela n’a pas plus à une personne pour que celle-ci s’amuse tellement à Airi, pour la faire souffrir atrocement. La vue de la demoiselle était brouillée, la jeune fille ne pleurait pas ou autre chose. Elle était impassible, les personnes qui commençaient sérieusement à la faire souffrir semblaient s’amuser terriblement avec cette demoiselle. Jusqu’à la faire saigner, ses cicatrices. Ils l’ont planté de partout. Mais Airi ne laissait paraître aucune émotion. Jusqu’au moment où elle s’évanouit.

La demoiselle se réveilla dans un lit d’hôpital, en sueur. Ce n’était pas un rêve, elle en tousse encore de cette souffrance. Un coup plaçait vers l’emplacement de ses cicatrices pour qu’elle crache du sang. C’est le seul endroit où Airi est fragile. Depuis ce jour, qui devient être durant l’année de ses seize ans, la demoiselle apprit à se contrôler. Elle ne voulait plus revivre cette terrible souffrance. Elle se calma, en quelque sorte. Moins de combats, moins de blessures, moins de coups… Airi apprenait à se contrôler, bien qu’elle finit par craquer un jour. On voulait l’aider plus que tout, Airi voulait en finir avec ça. Pourquoi devait-on aider une orpheline aussi pathétique qu’elle ? La jeune fille avait finit par mettre le feu à l’établissement où elle se trouvait. Provoquant une vague de terreur autour d’elle.

On l’envoyait ensuite dans un endroit où on penserait qu’elle se calmerait. Ou on penserait qu’elle arrêterait d’être aussi violente et agressive. Un endroit où elle pourrait se faire des amies et bien d’autres choses. Mais ce qu’ils n’ont pas compris, c’est qu’Airi ne veut pas tout ça. Elle se referme sur elle, elle garde tout pour elle. Son seul moyen pour décompresser et être elle-même, c’est de jouer de la musique. Reprendre des musiques connues, ou en créer tout simplement. Airi aime faire ça, c’est son seul moyen de s’échapper de cette terre qu’y l’avait fait souffrir. Mais quasiment personne n’est au courant, non personne n’est au courant. On l’envoyait dans l’institue de Mahora, pour pouvoir se calmer.

Mais comme si ça allait marcher.

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